Le groupe Isagri modifie sa direction. Pascal Chevallier est nommé directeur général et succède à Jean-Marie Savalle, le fondateur de l’entreprise. Hélène Savalle et Mathieu Savalle sont également nommés au sein du conseil de surveillance.
L’éditeur Isagri déploie une nouvelle gouvernance au sein de sa direction. Le groupe annonce la nomination de Pascal Chevallier en tant que directeur général. Il succède à Jean-Marie Savalle, qui conserve sa fonction de président. Le directeur administratif et financier, Jean-Marc Stauffer devient aussi secrétaire général du Conseil.
L’objectif de Pascal Chevallier est de poursuivre le plan d’Isagri dans le domaine de l’AgriTech. A savoir de multiplier par trois son activité en 12 ans pour atteindre un milliard de chiffre d’affaires. L’éditeur doit également recruter 10 000 collaborateurs à l’horizon 2035.
Jean-Marie Savalle : « Je ne vise pas le saut dans l’inconnu pour tous, mais au contraire une évolution douce pour garantir la pérennité du groupe, qui doit se préparer à fonctionner sans moi. Cette évolution, je veux la mener avec des acteurs connus, fiables, aux valeurs et compétences prouvées, inscrits dans l’esprit de transmission et non dans la lutte des pouvoirs. C’est une étape obligatoire pour garantir un futur ambitieux pour chacun des collaborateurs et pour le groupe Isagri. »
Un changement dans la continuité
Pascal Chevallier officie au sein de l’entreprise depuis de nombreuses années. Ce dernier a ainsi exercé moults fonctions depuis son arrivée dans le groupe. De leur côté, Hélène et Mathieu Savalle deviennent respectivement directrice des ressources humaines du groupe et directeur des fusions-acquisitions, en plus de leur rôle d’administrateur.
Le nouveau directeur général précise : « Le groupe affiche de fortes ambitions avec des entités à faire grandir et de nouvelles croissances externes à intégrer. Nous avons déjà prouvé avec Jean-Marie que nous savions travailler à l’unisson. Il existe une collaboration forte au quotidien avec Hélène et Mathieu, qui seront désormais dans une position renforcée d’actionnaires, mais aussi d’opérationnels.«
Olivier Robillart